Fan Fic par marteler et ikoo

Les légendes ne naissent pas d’un jour à l’autre, non, il faut qu’elles se construisent au fur et a mesure de leur existence.

C’est ainsi qu’un jeune chasseur du village de Pokke du nom de Marteler parti à l’aventure, en quête de simples pièces d’or.

Le village se trouve coincé au beau milieu de nul-part, dans les vallées des, sans doute aucun, plus grandes montagnes que l’on puisse trouver en Gardemine. Mais lui se trouvait en se moment ailleurs, dans la ceinture volcanique, en quête d’un Basarios.

Au bout d’une longue recherche, il vi un tas de pierres enfoncées en parti dans le sol. Mais Marteler n’était pas dupe. Ce tas de pierres ne se trouvait pas ici il y a à peine dix minutes, aussi devina-t-il qu’il devait réagir au plus vite. Il sorti le fusil-arbalète qu’il avait prix pour l’occasion, puis chargea sa munition préférée dans le chargeur de ce qu’il appelait son fusa. Il visa ce qu’il pensait être le dos, puis tira.

Un phénomène d’une rare ampleur ébranla le sol, puis le tas de pierres s’anima. Il en sorti un Basarios, dirait-il, de 5 fois plus gros que la normale. Le chasseur ne pu s’empêcher de s’imaginer celui-ci ayant atteints la taille adulte.

Son dos saignait suite aux multiples explosions dû à la munition tirée par Marteler. Il regarda alentour, avant d’enfin poser les yeux sur le misérable humain qui avait osé troubler son repos. Sous l’emprise de la haine, il chargea le malheureux humain, qui ne bougea pas pour autant. Le chasseur repris ses esprits, prit une munition perceuse de chairs, capable de broyer les principaux organes vitaux de la montagne, aussi nommée Lao Shan Lung.

Il visa, eut un léger sentiment de pitié pour le monstre, puis tira. Le monstre continua sa course, tentant désespérément de tuer ce sale humain au passage, mais l’homme en avait décidé autrement.

Il esquiva facilement sa charge, découvrant à la dérobée un énorme rocher qu’il avait caché jusque là. Le monstre pensa -du moins essaya de rassembler ses pensées- que le rocher arrêterai sa course.

Mais il y a une lourde différence entre rêve et réalité, car le rocher explosa au contact, si bien qu’il continua sa course vers le ravin juste devant lui. Il fini sa course dans le vide, et Marteler, plein de suie et de sueur, ne chercha même pas à s’empêcher de rire, de ce rire de joie de quelqu’un qui viens de tuer un monstre de grande puissance, car bien que les ayant refoulées, sa technique de combat devait abolir toute forme de peur et de pitié.

Il rangea son fusa, regarda dans le vide, celui même où le Basarios était tombé, puis sauta à coté de ce colosse de pierre mort depuis quelques secondes.

Il sorti son couteau à dépecer, arracha en trophées un morceau de l’aile, un bout de carapace assez grand, qu’il coupa en trois. Il lui arracha même un œil!

Après ce rituel, il reparti au bateau qu’il avait dû prendre pour arriver à la chaine de volcans, puis s’en alla. Il revint comme à son habitude par le port de Pokke, puis alla au poste de la guilde pour déclarer le Basarios.

C’est à ce moment là qu’il vit son meilleur ami, mais aussi son plus grand rival, Ikoo.